000 | 01963nam0a22002531i 4500 | ||
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001 | 30156 | ||
010 | _a2253160466 | ||
090 | _a30156 | ||
100 | _a20240205 frey50 | ||
101 | 0 | _afre | |
102 | _cFR | ||
200 | 1 |
_aLes précieuses ridicules _ecomédie en un acte, 1660 |
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210 |
_cLibrairie générale française _aParis _d1999 |
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215 |
_bLivre _a153 p. _cill., couv. ill. en coul. _d18 cm. |
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225 | 1 | _aThéàtre de poche | |
300 | _aBibliogr. p. 147-153 | ||
330 | _a« Marotte. Voilà un laquais, qui demande si vous étes au logis, et dit que son maitre vous veut venir voir. Madelon. Apprenez, sotte, à vous énoncer moins vulgairement. Dites : «Voilà un nécessaire qui demande si vous étes en commodité d'étre visibles.» Marotte. Dame, je néntends point le latin, et je n'ai pas appris, comme vous, la filofie dans Le Grand Cyre . Madelon. L'impertinente ! le moyen de souffrir cela ! et qui est-il, le maitre de ce laquais , Marotte. Il me là nommé le marquis de Mascarille. Madelon. Ah ma chère ! un marquis, oui, allez dire qu'on nous peut voir. C'est sans doute un bel esprit, qui aura ou'parler de nous. » Les Précieuses ridicules sont la première comédie imprimée de Molière, mais le texte publié n'est que l'image silencieuse de ce qui fit en 1659 son succès immédiat : un théàtre vivant et neuf, car cette courte pièce en un acte et en prose affichait son parti pris en faveur du spectaculaire, du jeu des acteurs, de ce qu'on voit et qu'on entend, de ce que l'écrit justement ne transmet pas. Sa nouveauté prit à rebours les idées reçues sur la comédie : spectateurs conquis et rivaux dépassés surent alors que plus rien ne serait comme avant sur les scènes parisiennes du xviie sècle. Introduction, notes et commentaires par Claude Bourqui. | ||
676 | _a822 | ||
700 | 0 |
_aBourqui, Claude _4340 |
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702 | 0 |
_aMolière _4070 |
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801 | 0 | _bBNF | |
852 | _jTHE/001/2/02 | ||
942 | _cBK | ||
950 | _a2 |